"Je suis plus tranquille"

A.C. : C'est une course que j'aime. Je marche bien en général à cette époque de l'année. Pour moi, c'est un avant-goût du Tour de France, des étapes tendues, des parcours qui me rappellent le Tour surtout dans la plaine. Et puis, le niveau est très haut. Des premières courses de l'année, c'est la plus importante.

A.C. : C'est quand ça ne marche pas que l'on apprend le plus. J'ai beaucoup appris ce jour-là. Beaucoup de facteurs ont joué dans cette étape. J'ai compris que je devais être plus froid pour analyser la course, penser à tous ceux qui peuvent faire quelque chose au général, et évidemment faire attention à mon alimentation.

A.C. : Il ne fait que 8 kilomètres mais je pense que les différences seront plus importantes qu'à l'habitude sur cette distance.

A.C. : J'espère bien faire. Pour gagner, ça dépend aussi des autres. Vande Velde, Millar, Samuel Sanchez, Luis Leon (Sanchez), Valverde, Chavanel, et j'en oublie sûrement...

A.C. : Oui. C'est le vélo sur lequel je me suis entraîné durant l'hiver. Il est plus plus rapide, à la fois plus léger et plus rigide, ça fait beaucoup d'éléments qui ont changé en mieux.

A.C. : J'ai des bons souvenirs de Mende, quand j'ai gagné en 2007 dans Paris-Nice. Moins bon en 2005, sur le Tour de France, j'avais beaucoup souffert. Je vais essayer de faire la différence dans la montée. Mais les écarts seront minimes. Cette semaine, il faudra surveiller beaucoup de coureurs.

A.C. : Je suis plus tranquille que l'an dernier. C'est une grande différence par rapport à 2009. Je peux me concentrer sur mon objectif sportif. Je suis très content des relations que nous avons.

A.C. : Au Portugal, l'équipe a fonctionné de manière incroyable... et j'espère que ça va suivre toute la saison. J'étais certain que l'équipe serait forte, compétitive, pour le Tour. Bien sûr, contrôler la course au Tour de France et dans les autres épreuves sont deux choses différentes. Mais je suis sûr qu'Astana évoluera à un grand niveau.